
Continuité : Légendes
Les dossiers de quasiment l'ensemble des criminels, esclaves, politiciens et bureaucrates connus, ainsi que ceux de maintes corporations impériales reconnues, comprenaient des codes dermatolyglyphiques. De plus, l'utilisation d'unités de micro-scanner holographique permettait au Right ID d'identifier les individus même en leur absence, grâce aux empreintes dermatoglyphes qu'ils pouvaient laisser sur presque n'importe quelle surface. Cependant, le système comprenait des limites. Ainsi, il ne pouvait faire la distinction entre des éléments génétiques identiques, à l'instar des clones, et la présence de cicatrices spécifiques ou de membres artificiels pouvait le rendre inopérant. En outre, il fallait recourir à une biopsie cytoplasmique ou à une analyse d'accrétion chitineuse pour les espèces qui ne développaient pas de caractères dermatoglyphiques.
L'exemple le plus marquant concerne les Wookies. Recueillir des données d'identification dermatoglyphique auprès de cette espèce demandait une attention particulière. Durant leur esclavage, celle-ci avait souvent été identifiée par des dermatoglyphes, puisque la plupart des propriétaires étaient incapables de faire la différence entre les divers membres. Au lieu de se servir des pouces ou des doigts des Wookies, souvent marqués de cicatrices voire manquants, les références étaient prises sur leur nez.
Ceci eut pour résultat de produire une banque de données contenant des renseignements sur à peu près l'ensemble des Wookies de la galaxie. Vu la quantité de données disponible, il fut décidé de pérenniser le dispositif.
Les Wookies considéraient toutefois les dermatoglyphes comme un rappel des mauvais traitements passées et présents. À leurs yeux, cela encourageait les autres espèces à les juger comme du bétail et non comme des individus à part entière. Il en résulta que lorsque l'un d'eux devait placer son nez sur une plaque d'identification dermatoglyphique, un sentiment d'agitation s'emparait de lui.
Un autre exemple frappant de son utilisation se déroula lors de l'enlèvement du chanteur shashay Crying Dawn Singer. Un groupe de Rebelles, chargé de sa recherche, le localisa sur la planète Narg . Ils se posèrent dans le principal spatioport, Grig.
L'officier des douanes qui les accueillit les soumit à un contrôle dermatoglyphique. Ces informations furent ensuite envoyées à la police planétaire puis au Réseau d'Information et de Maintien de l'Ordre (RIMOSRa) du secteur Rayter.

Renseignement
Continuité Star Wars et ligne éditoriale HoloNet
Il existe dans Star Wars plusieurs continuités indépendantes les unes des autres, impliquant des histoires parallèles pour certains personnages, ou autres éléments (époques, planètes, vaisseaux, etc.).
Star Wars HoloNet distingue quatre types de continuités : Légendes, Canon, The Star Wars, Infinities ; et les informations hors Continuité.